dimanche 10 octobre 2010

Budapest

Budapest est une ville séparée en deux par le Danube: la rive gauche c'est Buda, la rive droite c'est Pest, d'où les multiples ponts pour relier les deux parties de la ville. Très différentes des autres grande villes des Balkans du fait de son ancienne alliance à l'Autriche (Empire Austro-Hongrois), elle rappelle un peu Paris, sous certains aspects.
Ici monument édifié à la chute du rideau de fer, qui coupait les Balkans de la partie ouest de l'Europe.


Marché des Grande Halles.


Sur les rives du Danube.





Petit groupe de musique traditionnelle Hongroise, ici sorte de cornemuse.


Metro de Budapest, descente dans les entrailles de la terre...


samedi 2 octobre 2010

Roumanie

Arad, petite ville où j'ai passé presque 2 semaines entrecoupeés de campagnes et de montagnes. elle se situe pas très le de la frontière Hongroise, soit dans l'Ouest de la Roumanie.


Un des marché de Arad. En Roumanie il existe encore des marchés couverts, où l'ont peu juste venir avec sa production, s'installer et vendre le temps qu'on veut. De 7h du matin à 19h du soir ou jute 2h dans la journée. C'est tout les jours le marché, et c'est toujours un peu différent.

Roms au marché.

Le parc, avec ses tables d'échec, ses bancs et ses petits vieux toujours là.

Sepreus

Sepreus est un petit village à environ 80km d'Arad, comme il en existaient en France il y a environ 50 ans. Il n'y a pas de mairie ni d'administration, ni tout le reste, juste un bar et une épicerie et des gens qui vivent. La vie simple, la vie vraie.J'ai eu la chance d'y passer 2 jours. On tuait le cochon , ici la famille d'un ami, venue aider pour l'occasion.

vendredi 1 octobre 2010


Cochon et chien.

Le vieux puit.

Rue de Sepreus


Valea Cernei

Sur la route, les petits village et bourgades sont coupés en deux. Les maisons, plus haut dans les montagnes, portent sur le devant de petites rocailles, vertes, blanches, bleues ou brunes. Lisses et brillantes, disposées en mosaïques.
Sur la route, ça n'est que campagnes, portant les reste du communisme, sinistres carcasses de fer, mortes et rouillées. Et puis il y a les trains et les briques rouges, usées, tous usés. Les babas sur les bancs devant les maisons, au crépuscule. Toujours les mêmes, toujours là, regardant le jour qui baisse, usées elles aussi.

Vaches sur la route.

Retour à Arad

Čave au marché.